Spectacle musical pour petits et grands
Projet créé dans le cadre du Millénaire de la Cathédrale
Texte et mise en scène Christian Rätz
Composition musicale Fabrice Kieffer, Romain Pivard
chant et jeu Marie Noële Vidal, Jean Lorrain
Romain Pivard saxophone
Fabrice Kieffer accordéon, vielle à roue
régie Alexandre Rätz
régie son Sébastien Bauer
marionnettes Laurent Olivier Filou
perruques Hélène Wisse
construction décor Jean Claude Stoll
La cathédrale est plantée là devant nous dans toute sa majesté, sa splendeur nous écrase et un vent froid souffle tout autour d’elle.
Ce phénomène étrange vaut bien une histoire…
Le vent du diable est un spectacle musical d’environ 50 minutes qui s’adresse essentiellement aux enfants à partir de 6 ans mais aussi à leurs parents (et grands-parents).
Dans l’esprit des spectacles du Moyen-âge ce spectacle se déroule en plein air au milieu des spectateurs : le tentateur et les vierges folles seront entre autres des personnages liés à notre histoire, mais nous n’en dirons pas plus…
Notre histoire avec toutes ses invraisemblances et ses incohérences va nous entraîner dans un univers où règnent la fantaisie et la satire.
La cathédrale est le décor naturel de cette histoire fantastique et loufoque, certains éléments d’architecture et certaines sculptures interviennent comme supports visuels au récit. Grâce aux comédiens/chanteurs et aux musiciens ce spectacle met en œuvre la parole, le chant, la musique et le jeu d’objets théâtraux.
Cette forme courte, simple, directe et très ludique se rapproche du théâtre forain. Deux comédiens tirent le fil de l’histoire tout le long de la représentation et développent certains personnages et thèmes propres à l’histoire.
De cette première version sont nés un livre et un spectacle bilingue, Gügück et le cheval fantôme.
Représentations
20 août 2015 à la Meinau, place de l’Ile de France
22 et 23 août 2015, Parvis de la Cathédrale
28 août 2015 à Koenigshoffen, square Hasek
Le vent du diable est une légende populaire liée à la cathédrale de Strasbourg.
Le diable, trop curieux, vient inspecter les travaux de construction de la cathédrale, pour cela il entre dans la cathédrale en laissant son cheval à l’extérieur.
Surpris par une messe, le diable se cache dans le pilier des Anges ; prisonnier à l’intérieur de ce pilier, il ne peut plus en ressortir, et son cheval resté à l’extérieur part à sa recherche. Il galope éternellement autour de la cathédrale créant un courant d’air permanent : le vent du diable.
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